Barack Obama aura réussi à tromper tout le monde |
Barack Hussein Obama, le seul et le dernier président américain noir, pour certainement très longtemps, a fait le 20 janvier 2009, un discours d’investiture qui a y regarder de très près, renferme tout, sauf ce qu’il a laissé entendre et cela deux ans après. L’homme pour lequel le monde s’est pressé pour lui attribuer le prix Nobel de la paix afin d’encourager les Etats-Unis à être enfin un pays de paix, n’a en fait apporté que la guerre, la perfidie, le mensonge et beaucoup de souffrances dans plusieurs pays du monde, à l’exemple de L’Irak, l’Afghanistan, l’Egypte, la Tunisie, la Libye, la Côte d’Ivoire… Barack Obama, commence son discours par selon lui, « empli d'un sentiment d'humilité ». Mais son premier remerciement ne s’adresse pas à tous ceux qui ont adhéré à son discours de changement. Il dit merci en premier à quelqu’un qui a tous ces sentiments sauf celui de l’humilité, c’est-à-dire son prédécesseur va t-en guerre, « …le président Bush… ». Cela permettra donc à chacun de très vite comprendre pourquoi il s’est empressé de quitter avec ses troupes, l’Irak, où le pourrissement était déjà là, à porter la guerre en Afghanistan pour perpétuer des actes immondes et à surtout faire de la Côte d’Ivoire, un pays paisible, le nouveaux champs des atrocités les plus inimaginables. Où, d’ailleurs son ami Alassane Dramane Ouattara peut commettre des génocides en tuant et en brûlant 1000 à 2000 civils d’une même ethnie (les Gueré, les bété, gouro, dida, kroumen Agni, sudistes, les gens de l’Est, de l’Ouest…), à entrer dans des cathédrales catholiques pour exécuter des chrétiens, tuer des étudiants dans leurs cités dortoirs, exécuter les forces légales de l’ordre, pourchasser, humilier et tuer tous ceux qui ont voté pour le président constitutionnellement reconnu, Laurent Gbagbo. Lequel est arrêté avec son épouse, ses enfants, tous ces proches, humiliés et conduits vers des destinations inconnues. Barack Obama s’empressait pourtant de dire lors de ce discours qu’« En ce jour nous proclamons la fin des doléances mesquines et des fausses promesses, des récriminations et des dogmes éculés qui ont pendant trop longtemps étouffé notre vie politique. »
Mais la mesquinerie ne cesse pourtant de traverser tous ses actes politiques. Pour sa première visite dans les pays arabes, il s’empresse de se rendre chez Hosni Moubarak, en Egypte ; qui le reçoit d’ailleurs avec tous les honneurs. Quelques temps après, lors de la révolution populaire dans ce pays, il est l’un des tous premiers à crier au dictateur, en parlant de Hosni Moubarak. Pour une autre visite, cette fois-ci, en Afrique Noire, au Ghana, il fait l’éloge de la constitution, des institutions de chaque pays mais ne tarde pas à rejeter quelques temps après le conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire qui déclare le candidat Laurent Gbagbo, vainqueur de la présidentielle dans son pays face au candidat de la communauté internationale, pour ne pas dire des réseaux capitalistes et mafieux, Alassane Dramane Ouattara.
Enfin lors d’une autre visite en Amérique Latine, Il est interpellé par le président vénézuélien Hugo Chavez, qui sent certainement qu’il n’est pas digne de confiance, de ne pas faire comme son prédécesseur George Bush. Barack Obama, en rit tout en se rappelant avec orgueil que son pays demeure « la plus puissante de la Terre » Dans ce cas, que valent les propos de dirigeants qu’il regarde d’ailleurs de haut ? Il pousse la suffisance à son comble, en affirmant même que les américains « …dompterons le soleil, le vent et le sol pour faire avancer nos automobiles et tourner nos usines. » Le président américain ne veut pas se contenter de commander les hommes, il a l’intention de commander la nature elle-même. Il ya à se demander si même le nazisme a eu une telle prétention ? Peu importe, Barack Obama, sait manier la langue et le verbe. Sa profession d’homme de droit l’a beaucoup aidé à savoir créer la confusion dans les esprits et transformer le faux en vrai et vis-versa. C’est pourquoi il peut dire à profusion autant de confusions en affirmant à la fois que « En ce qui concerne notre défense à tous, nous rejetons l'idée qu'il faille faire un choix entre notre sécurité et nos idéaux. », « l'Amérique est l'amie de chaque pays et de chaque homme, femme et enfant qui recherche un avenir de paix et de dignité, et que nous sommes prêts à nouveau à jouer notre rôle dirigeant. » ou « Nous allons commencer à laisser l'Irak à son peuple de façon responsable et forger une paix durement gagnée en Afghanistan. » « Nous n'allons pas nous excuser pour notre façon de vivre, ni hésiter à la défendre, et pour ceux qui veulent faire avancer leurs objectifs en créant la terreur et en massacrant des innocents, nous vous disons maintenant que notre résolution est plus forte et ne peut pas être brisée; vous ne pouvez pas nous survivre et nous vous vaincrons. » Des paroles qui laissent simplement entendre que ce qui importe, ce sont les Etats-Unis d’abord, tout le reste du monde peut venir après, que l’Irak peut se débrouiller toute seule maintenant qu’il est devenu incontrôlable par notre faute et que nous allons continuer de dominer le monde comme nous l’attendons. La Côte d’ivoire vient de l’apprendre à ses dépends. Rien n’a donc en fait changé avec Barack Obama.
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