| Le département d'Agboville en rouge foncé |
99% des complexes hôteliers d’Agboville (plus d’une vingtaine environ) sont aux mains des Frci et de leur commandant de zone, le dénommé « Oustaz ». Cela depuis l’offensive des forces pro-Ouattara en mars dernier. Les propriétaires des principaux hôtels et leurs employés ont été menacés de mort et chassés, pour certains du département d’Agboville. D’autres on vu leurs têtes mises à prix parce qu’ils seraient pro-Gbagbo. Pour certains complexes qui n’ont pas toutes leurs chambres prises de force par les soldats de Ouattara, les clients évitent tout simplement de s’y aventurer de peur de subir un coup de sang soudain de hommes en armes connus pour leur caractère imprévisible. Depuis ce temps, c’est un véritable manque à gagner pour ces structures hôtelières dont certaines peuvent s’enorgueillir d’avoir deux à trois étoiles.
La situation désastreuse que vivent les opérateurs du secteur hôteliers de la capitale de l’Agneby a été empirée par les hommes du nouveau pouvoir qui ont tout simplement pillé certains des établissements. Les sanitaires, les télévisions, réfrigérateurs, lingerie, vaisselles, différents décors et. Ont été emportés. On cite des hôtels comme « Mont Blanc », « Ofotel » et « La Kavi » qui ont fait les frais de cette autre forme de banditisme à laquelle les Frci sont en train d’habituer les populations d’Agboville.
C’est la même scène que livrent ces individus dans les sous préfectures de Rubino, Cechi, Azaguié, Grand Morié, Oreskrobou…où la moindre auberge est transformée en camp militaire et des fois en lieu de viols et de tortures.
« Jamais, les Fds qui venaient pourtant ici régulièrement depuis le temps pour faire des manœuvres ou qui se trouvaient en mission n’ont réquisitionné un seul hôtel de la ville. Ils se comportaient en militaires et érigeaient un camp. Même quand le Président Gbagbo venait ici, les hôtels qui devraient être occupés, l’étaient de façon commerciale car les propriétaires présentaient une facture qui était aussitôt payée. Mais avec les hommes d’Alassane Ouattara c’est tout le contraire. Tout est en train de partir lambeaux. Des emplois, dans le secteur hôtelier sont définitivement perdus, des établissements de qualité transformés en endroits de tous les vices et de tous les crimes et surtout le manque à gagner est incalculable», résume un des propriétaires d’hôtel d’Agboville qui en a gros sur le cœur.
Récemment, une réunion de la chambre de commerce d’Agboville s’est tenue sur la situation de la vie économique dans la capitale de l’Agneby. D’autres complaintes se sont ajoutées aux souffrances que les Frci font endurer à la population.
Source Notre Voie
C’est la même scène que livrent ces individus dans les sous préfectures de Rubino, Cechi, Azaguié, Grand Morié, Oreskrobou…où la moindre auberge est transformée en camp militaire et des fois en lieu de viols et de tortures.
« Jamais, les Fds qui venaient pourtant ici régulièrement depuis le temps pour faire des manœuvres ou qui se trouvaient en mission n’ont réquisitionné un seul hôtel de la ville. Ils se comportaient en militaires et érigeaient un camp. Même quand le Président Gbagbo venait ici, les hôtels qui devraient être occupés, l’étaient de façon commerciale car les propriétaires présentaient une facture qui était aussitôt payée. Mais avec les hommes d’Alassane Ouattara c’est tout le contraire. Tout est en train de partir lambeaux. Des emplois, dans le secteur hôtelier sont définitivement perdus, des établissements de qualité transformés en endroits de tous les vices et de tous les crimes et surtout le manque à gagner est incalculable», résume un des propriétaires d’hôtel d’Agboville qui en a gros sur le cœur.
Récemment, une réunion de la chambre de commerce d’Agboville s’est tenue sur la situation de la vie économique dans la capitale de l’Agneby. D’autres complaintes se sont ajoutées aux souffrances que les Frci font endurer à la population.
Source Notre Voie
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